– 4 personnes ont été interpellées et qui sont en garde à vue
– il y a un risque de comparution immédiate
Nous vous demandons d’interpeller partout où c’est possible les pouvoirs publics pour dénoncer cette situation.
Nous vous appelons à soutenir vos camarades en manifestant par tous les moyens que vous jugerez utiles : devant vos commissariats, préfectures, tribunaux , renseignements généraux, conférences de presse, communiqués.
À l’heure actuelle, les confédérations Paysannes de l’Ariège, Deux-Sèvres, Vendée et Lozère ont interpellé leur préfecture, en leur apportant des pièces de salles de traite…
Pour la Conf’ Aveyron, nous venons d’apprendre que nous aurons un RDV avec un conseiller de l’Élysée, ce vendredi 30 mai, à l’occasion de la venue de Hollande. Vous vous doutez de ce que nous lui apporterons…
nouvelles gardes à vue !
Alors que les paysans venus démonter la salle de traite de la ferme-usine des 1000 vaches s’apprêtaient à quitter le site, les gendarmes sont intervenus et ont procédé à quatre interpellations.
Les forces de l’ordre étaient donc bien au rendez-vous, non pas pour protéger le chantier, mais bien pour tenter de porter un coup à la mobilisation. C’est la troisième fois que des militants de la Confédération Paysanne sont placés en garde à vue pour permettre à un industriel de construire une usine à lait.
La répression syndicale se poursuit donc pendant que d’autres détruisent notre avenir en toute impunité.
+ d’infos :
www.confederationpaysanne.fr
fr.news.yahoo.com
www.liberation.fr
www.franceinter.fr
www.reporterre.net
www.francebleu.fr
www.courrier-picard.fr
Interpellation du porte parole de la Confédération paysanne
+ d’infos sur www.confederationpaysanne.fr
crédit photo Manuel Ruffez